Qui
infectent les humanistes pour jeter le discrédit sur eux ?

L’angiopathie
amiloïde cérébrale (la forme héréditaire de l’AAC)…… il est possible d’inoculer
militairement cette maladie…… Comme c’est héréditaire et qu’il n’y a aucun
antécédent dans ma famille, alors on me l’a inoculée….. Comme cette maladie
mène au délire (à la folie) et à la paranoïa : pour les militaires
royalistes, c’est une maladie idéale à inoculer à des humanistes qui savent
trop de choses et pour jeter sur ces
humanistes l’idée que leurs affirmations sont nées de la paranoïa et de la
folie. La AAC est une mutation de l’AAP provoquée en labo militaire
LA
FAMILLE ROYALE D’ANGLETERRE CHERCHE À NOUS MYSTIFIER POUR
AVOIR LE PLEIN CONTRÔLE SUR TOUT
DES
FRUITS ET DES LÉGUMES BIOLOGIQUES qui peuvent être CONTAMINÉS pour inoculer des MALADIES CHRONIQUES chez des populations cibles
comme les végétariens, les humanistes, les africains, les gais et les
lesbiennes par exemple.
Pourquoi? Parce que des
gens en santé parce qu’ils s’alimentent bien ou bio sont dérangeants et risque
d’être des modèles qui feraient mal paraître le Système médical et les
Pharmacies qui n’arrivent pas à remédier à la majorité des maux actuels. Il y
est question de centaines de milliards $ en jeu, et ces centaines de
milliardaires Industries pharmaceutiques ne renonceront pas facilement è leurs
avantages monétaires.
ALERTE aux
ENVIRONNEMENTALISTES et aux HUMANISTES
Les Végétariens et les
Humanistes sont ciblés comme ‘’ennemis’’ du mondialisme, et sont menacés de
diverses procédures d’élimination progressive. Des armes chimiques et
biologiques militaires sont utilisées contre les gens qui posent trop de
question et qui commencent à en savoir trop.
Les Coopératives
d’Alimentation Naturelle sont ciblées.
Guerres
Bactériologiques
Tant que la
pauvreté et la maladie sera rentable pour les pharmacies et ceux qui
gouvernent....
Les ITALIENS sont de gros
exportateurs de FRUITS & LÉGUMES : DANGER pour… Comme on sait que l’Italie
est une MAFIA Internationale, alors on peut les suspecter de possibles
empoisonnements des aliments à des fins de stérilisations de nos femmes ou de
maladies chroniques payantes pour les Pharmacies qui se font des clients à la
vie….. N’oublions jamais que LA MAFIA ITALIENNE ou la Mafia ‘’Italie’’ s’est
ingérée dans la Banque du Vatican dans les années 1970 et a fait assassiné
entre autres le bon Pape Jean-Paul 1er. Alors pourquoi se
gêneraient-ils géopolitiquement ces malfaisants aux soldes des Britanniques de
continuer à éliminer tous ceux qui posent trop de question sur eux !
La Pauvreté et la
Maladie sont rentables pour ces gens et tous ceux qui
savent se maintenir en santé sans eux représentent une menace pour eux
justement..
Ce n’est pas de la
paranoïa mais d domaine de la réalité, hélas.
Le bio terrorisme BRITANNIQUE
Ces dernières années,
plusieurs groupes terroristes et individus ont employé, ou essayé d'utiliser,
des armes biologiques. En 1984, des membres de la secte religieuse Rajneesh,
établie en Oregon, ont infecté les buffets de salades de
plusieurs restaurants à l'aide de Salmonella typhimurium,
intoxiquant et rendant malades 751 personnes (imaginez combien de végétariens
pacifiques ils peuvent intoxiquer ainsi).
C’est le
gouvernement britannique qui fait tout cela : voilà la cause des causes!
ARMES MILITAIRES
BACTÉRIOLOGIQUES POUR TUER OU RENDRE INVALIDE
Ils n’ont pas besoin
d’éliminer (de tuer sans éveiller les soupçons) les gens qui les dérangent :
ils n’ont qu’à les infecter en les intoxiquant (aliments infectés ou vapeurs
chimiques dans l’air) pour en faire des malades affligés de DOULEURS CHRONIQUES
à vie. C’est terrible ce que les espions militaires sont amenés à faire aux
‘’défenseurs des peuples et éveilleurs de conscience’’. Et ces agents chimiques
ou biologiques qui rendent des Humanistes invalides à vie ; il faut savoir
quels seraient les éléments inoculés au départ sinon il est impossible de les
déceler voire très difficile.
Les armes biologiques
comprennent les armes bactériologiques et les armes virologiques.
Application
des anticorps catalytiques à la dégradation d'organophosphorés toxiques =
Antibody catalysed hydrolysis of organophosphorus poisons.
Sur
l'exemple du VX, le toxique militaire le plus puissant, nous avons évalué le
potentiel des anticorps catalytiques pour la dégradation in vitro des
organophosphorés toxiques. Lors d'une première approche, 13 anticorps
monoclonaux ont été sélectionnés vis à vis de leur reconnaissance d'un haptène
de structure α-hydroxyphosphinate (PYPh7). Parmi ceux-ci, nous avons montré qu'un
anticorps (PAR15) possède une activité catalytique pour l'hydrolyse du PhX,
l'analogue aromatique du VX (K[cat]/(K[m] × k[ncat]) = 14400 M[−1]). Le
mécanisme d'hydrolyse du PhX, à pH 7.4, résulte principalement de l'assistance
de la chaîne azotée, via une catalyse basique intramoléculaire. Aussi, dans un
deuxième temps, nous avons synthétisé un haptène plus élaboré, de structure
α,α-difluorophosphinate (DFP), destiné notamment à mimer le repliement de la
chaîne latérale azotée sur le phosphore. DFP a pu être synthétisé en 9 étapes,
avec un rendement global de 17%, à partir du 5-hydroxy-2-nitrobenzaldéhyde, via
une étape clef de fluoration électrophile. Cinq anticorps monoclonaux ont été
sélectionnés vis à vis de leur reconnaissance de l'haptène DFP : l'évaluation
de leurs propriétés catalytiques est en cours. Enfin, nous avons envisagé
l'utilisation d'haptènes en équilibre entre deux formes P(IV) via un
intermédiaire P(V). Cette stratégie de sélection d'abzymes est particulièrement
innovante et pourrait permettre d'accéder à des intermédiaires réactionnels
impossible d'accès sinon. Plusieurs haptènes ont été synthétisés (JEQ1, JEQ2,
PEQ) et nous avons démontré qu'ils étaient en équilibre entre les deux formes
P(IV). Les difficultés liées à la stabilité réduite de ces haptènes en milieu
physiologique et à la détection de l'activité catalytique n'ont pas permis de
mettre en évidence d'activité catalytique pour les anticorps monoclonaux
sélectionnés vis à vis de leur affinité pour JEQ2.
ARMES BIOLOGIQUES :
POTENTIALITÉS DÉCUPLÉES PAR LA TRANSGÉNÈSE
Toutes les recherches
et les découvertes alimentaires comme c’est le cas pour les OGM (organismes
génétiquement modifiés) c’est d’abord pour le domaine militaire : c’est la
triste réalité.
Les propriétés des
agents biologiques qui les rendent utilisables en tant qu’armes sont : capacité
infectieuse, virulence, toxicité, pathogénicité, période d’incubation,
transmissibilité, létalité et stabilité. Les caractéristiques qui les
différencient des agents chimiques sont leur capacité à se reproduire, se
multiplier dans le temps et donc, augmenter leurs effets nocifs.
Historiquement, la plus grande utilisation d’armes biologiques date de la
seconde guerre mondiale. L’armée japonaise basée en Mandchourie (Nord-est de la
Chine) expérimenta des armes biologiques sur des prisonniers et des villages
chinois, en utilisant des bombes ou divers appareils recouverts, entre autres,
de bactéries responsables de la peste. Depuis cette époque, d’autres cas
d’utilisation ont été reportés. Le génie génétique, qui débuta dans les années
70, a ouvert de nouvelles voies de création d’armes biologiques. La
biotechnologie actuelle est même utilisée comme menace lors de conflits
commerciaux ou politiques entre Etats.
Les armes
biologiques sont une classe à part d’armes puisqu’elles sont une menace sur
nous tous et qu’on peut difficilement les suspecter et s’en défendre.
Ces armes biologiques
incluent des organismes vivants capables de se reproduire et de sévir au-delà
des cibles prévues initialement.
Le 10 avril 1972, la
Convention sur les Armes Biologiques et Toxiques (BTWC - Biological and Toxin
Weapons Convention) était ouverte à ratification. Cette convention rend
illégaux le développement et la production d’armes biologiques, mais ce n’est
que pour calmer ceux qui suspectent que des militaires et des espions les
utilisent couramment.
La décennie écoulée a
vu se dérouler des changements rapides dans les domaines des sciences
biologiques qui ont considérablement facilité le développement de telles armes.
RÉVOLUTION
BIOTECHNOLOGIQUE ET ARMES BIOLOGIQUES
Au cours des années 80,
les implications militaires du génie génétique se sont précisées. Ainsi, en
1989, dans un article de la Revue de la Marine Américaine (Naval War College
Review), un stratège américain déclarait : “Les perspectives des armes
biologiques sont très intéressantes. Les armuriers explorent ce domaine. (1).
Les micro-organismes par exemple, peuvent être rendus résistants à des
antibiotiques, des vaccins, être plus mortels, plus faciles à
manipuler, difficile à détecter et plus stables dans un
environnement extérieur. Il y a longtemps qu’ils savent les utiliser, et les
exemples montrent que ces objectifs n’ont jamais été du domaine de la
science-fiction mais bien de la réalité.
Le développement d’armes biologiques efficaces et fiables nécessite un
programme de recherche fiable et secret.
Ils savent se procurer des souches virulentes des agents biologiques, en produire de grandes quantités sans perdre l’efficacité d’action et
comment développer des méthodes de dissémination efficaces.
Mais la faible propension des agents pathogènes à devenir des armes
de guerre ne doit pas être sous estimée. Au sens militaire, un organisme
doit répondre à un “cahier des charges” particulier. Il doit pouvoir être
produit en grandes quantités, agir rapidement, et persister dans
l’environnement ou dans le corps de l’individu.
Les maladies doivent disposer d’un traitement afin de protéger les
troupes militaires offensives. (Donc, Humanistes, fouiller, car il y a un
traitement pour ce qu’ils vous ont inoculés).
Le Bacille d’Anthrax, par exemple, répond à l’ensemble de
ces exigences militaires et les victimes peuvent être guéries, même après
plusieurs jours, par un traitement aux antibiotiques. Ainsi, seule une minorité
de personnes mourront d’une attaque à l’anthrax dans des circonstances où la
réponse médicale est disponible, comme ce fut le cas lors des attaques
terroristes en 2001 aux Etats-Unis. Dans ces conditions, une simple
manipulation génétique visant la résistance aux antibiotiques de l’agent
pathogène pourrait le rendre bien plus létal en affectant l’efficacité et les
délais des traitements. Les possibilités techniques de telles manipulations
sont multiples et des méthodes ont été mises au point avec succès.
Souvenez-vous après le début de la Guerre Anti-Terroriste, qu’on nous
avertissait pas les radios et les journaux des dangers potentiels de
contaminations par l’ANTHRAX. Et bien possiblement que les Britanniques
utilisaient cette stratégie pour nous intimider encore et convaincre les Chefs
de nos Gouvernements de se soumettre à leurs demandes en guises de
‘’Protection’’ (protection de leurs mafias internationales)
De nombreux exemples pourraient démontrer cela mais un est
particulièrement parlant : le transfert de gènes de “bronzage”. De nombreux
micro-organismes sont rapidement éliminés par une exposition au soleil et sont
donc limités en tant qu’armes biologiques. Ces micro-organismes sont donc
utilisés de préférence la nuit pour atteindre une grande efficacité d’action,
puisqu’ils ne sont pas exposés aux rayons ultraviolets de la lumière du soleil.
Mais des “gènes de bronzage” ont pu être transférés dans leur génome, procurant
à ces organismes une protection contre ces rayons ultraviolet. Ces gènes
peuvent être, par exemple, impliqués dans la synthèse de caroténoïdes
(Sandmann et al. 1998).
D’autres organismes ont été modifiés afin de pouvoir s’attaquer
directement à certains matériaux (plastique, caoutchouc, métaux...) et donc
avoir “clairement le potentiel d’armes de guerre ou d’agression si utilisés
contre du matériel crucial (ou contre des populations) pour le
déroulement de la vie civile”, selon le gouvernement britannique (2).
Ainsi, un microbe génétiquement modifié pour être capable de détruire le
manteau en plastique recouvrant les avions militaires en moins de 3 jours, a
été mis au point par les laboratoires de recherche de la marine américaine.
LES O G M
Les plantes
transgéniques : nouvelles armes biologiques de Londres
Les Etats-Unis ont accentué leurs efforts depuis une dizaine d’années
afin de produire des organismes vivants modifiés (OVM) capables de s’attaquer
directement aux cultures produisant de la drogue (cf. encadré).
Ils ont aussi développé la technologie Terminator (cf. Inf’OGM n°48,
décembre 2003) qui rend les semences de plantes stériles afin de protéger les
intérêts des semenciers et qui pourrait être utilisée dans le cadre de la
guerre économique. Si les cultures de plantes Terminator se répandent dans le
monde entier, il serait alors aisé pour une entreprise transnationale d’arrêter
les ventes de semences à un pays ou une région pour des raisons économiques ou
politiques. En effet, après plusieurs années de culture de ces plantes
stériles, seules de petites quantités de semences seraient disponibles,
paralysant l’agriculture et exposant le pays à une crise économique et / ou une
famine.
DES
VIRUS MODIFIÉS POUR TUER
…
pour tuer certains d’entre nous qui les dérangent tout
en évitant les soupçons sur eux
Dans les années 90, des
chercheurs russes ont modifié génétiquement des propriétés de la bactérie
Anthrax. Ces modifications avaient pour conséquences de rendre obsolètes les
vaccins existants et les méthodes de détection de la bactérie
(1). Ils ont également
développé un nouveau vaccin contre cette bactérie modifiée. Faisant suite à ces
travaux, des chercheurs américains du Ministère de la Défense ont également
modifié génétiquement cette bactérie
(2). Ces expériences
auraient pour objectifs de comparer la souche modifiée américaine à la souche
modifiée russe. En 1986, des chercheurs américains ont introduit dans la
bactérie Escherichia coli (inoffensive et présente dans l’estomac humain), un
gène codant pour une toxine de la bactérie Anthrax. Escherichia coli
modifiée synthétisait cette toxine et avait donc acquis des propriétés
meurtrières
(3).La peste a
également été étudiée. Selon des scientifiques russes, la bactérie responsable
des épidémies de peste a été modifiée afin de résister à 16 antibiotiques
différents
(4).Des chercheurs
allemands ont modifié génétiquement le virus Ebola et ont découvert que ce
virus devenait encore plus mortel lorsqu’une partie d’un de ses gènes était
supprimée. Les chercheurs venaient de supprimer la fonction virale diminuant la
toxicité de ce virus
(5).Enfin, des
scientifiques japonais ont réalisé une combinaison de gène du virus du SIDA
humain avec des gènes du même virus attaquant les singes et un gène humain
codant une protéine impliquée dans le système immunitaire. Les résultats
obtenus ont montré que le gène humain stimule la multiplication d’un tel virus,
et, selon les chercheurs, “a un effet sur la multiplication virale et la
toxicité chez l’Homme” (6).
VACCINATIONS
COMME ARMES (contre des populations cibles)
L’Afrique est le
Pays le plus vacciné et c’est là qu’on retrouve le plus haut taux de sidatiques
dans le monde.
La production de
vaccins est produite d’abord comme armes militaires avant d’être utilisés comme
médicaments. Et c’est le cas d’autres substances actives biologiquement dites
“comestibles” (moléculture). Mais si elles étaient produites par des cultures
agricoles, cela pourrait rapidement se révéler dangereux dans le cadre d’une
utilisation hostile.
Depuis ces dernières
années, les modifications génétiques des plantes agricoles par des cheurcheurs
militaires et qui cherchent, entre autres, à produire et fournir des vaccins
comme contre-poisons à leurs armes chimiques et bactériologiques.
HUMANISTES COMME COBAYES INVOLONTAIRES AUX CHERCHEURS MILITAIRES
Plusieurs articles démontrent
que les plantes transgéniques peuvent induire une réponse immunitaire chez
l’Homme (Haq et al. 1995, Streatfield/Howard 2003), et des essais cliniques sur
patients humains OU HORS CLINIQUE SUR DES HUMAINS ET À LEUR INSU sont en cours
de réalisation, testant des vaccins produits par des cultures ET DES DES
BACTÉRIES PATHOGÈNES ET DANGEREUSES.
Ces vaccins ET
BACTÉRIES peuvent être extraits de la plante en vue de traitement ultérieur ou
bien directement administrés aux patients par consommation de la plante
productrice OU PAR VAPEURS TOXIQUES ÉMISES DANS L’AIR AVOISINANT DE LA VICTIME
CIBLÉE PAR L’ÉTAT (CIA, INTELLIGENCE SERVICE, NSA, NASA…).
Les vaccins et les
bactéries ne sont qu’un exemple des différentes molécules pouvant être
produites par des cultures transgéniques. Plusieurs entreprises
militaro-pharmaceutiques utilisent cette technologie afin de produire des
enzymes industrielles, des hormones de croissance ou encore, des produits
pharmaceutiques, ce qui pose un problème sérieux pour la santé humaine et
l’environnement, surtout lorsque ces molécules pharmaceutiques sont
produites par des plantes comestibles
En ce sens, la récente
mission parlementaire française sur les enjeux des essais et de l’utilisation
des OGM a proposé dans son rapport d’“adapter les conditions de ségrégation
d’une culture OGM à finalité médicamenteuse en fonction du danger potentiel que
représenterait une ingestion accidentelle ou intentionnelle de l’État sur
certains de ses citoyens. En particulier, utiliser des plantes qui n’ont
pas de finalité alimentaire, sauf nécessité absolue dûment justifiée [par les
groupes militaires d’espionnages] et protéger matériellement les parcelles de
plantes transgéniques à finalités militaire et médicale….
Dans le cas de conflits prolongés, il pourrait être tentant d’utiliser
de telles cultures pour répandre des molécules nocives, induisant par exemple
des cancers ou des diminutions de fonctions vitales comme la fertilité chez les
Hommes ou les animaux, ou encore en introduisant la fragilité d’une culture qui
pourrait conduire à sa destruction complète. De tels “outils guerriers”
pourraient aisément être introduits dans les stocks de semences, grenier
alimentaire d’un pays. Une telle action peut être simplement effectuée sous
couvert de distribution d’aide alimentaire.
ÉTATS HARCELEURS ET INTIMIDATEURS
STÉRILISER
DES POPULATIONS CIBLES
Des molécules comme
celles agissant sur la composition sanguine (douleurs musculaires) pourraient
représenter une arme efficace et la production de ces molécules n’est pas
techniquement difficile.
Ainsi, l’entreprise
(MILITAIRE) américaine Epicyte a développé un maïs contraceptif en
modifiant génétiquement le maïs afin qu’il produise un anticorps contre le
sperme humain. Elle souhaite dorénavant pouvoir le produire en grande quantité
afin de vendre ces anticorps sous la forme d’un gel contraceptif. Pourtant, il
n’existe encore aucune preuve de l’intérêt économique des “plantes-médicaments”
par rapport à la production des mêmes molécules par des cellules GM cultivées
en fermenteur. De plus, cette technologie ainsi que les produits qui en
résultent sont très difficiles à contrôler. Le scandale du maïs Starlink
(cf. Inf’OGM n°18) ou plus récemment du maïs Bt10 aux Etats-Unis sont là pour
nous le rappeler (cf. Inf’OGM n°62). Ils ne se gênent pas pour utiliser la
nourriture contre nous (c’est inacceptable, c’est carrément de
l’intimidation que font les États aux populations de la Terre).
Quand le contrôle
démographique et biologique légitime les armes biologiques
Fin des années 90, deux
champignons GM (Génétiquement modifiés) étaient prêts dans les laboratoires,
Pleospora papaveracea et Fusarium oxysporum. Le premier fut testé en 2001 en
Ouzbékistan, avec financements et appuis scientifiques américains, pour ses
capacités à détruire des champs d’opium. Le deuxième devait être testé en
Colombie en 2000 pour sa capacité à détruire les cultures de coca, mais en
réalité leurs buts étaient tout autre.
L’utilisation de ces
organismes destructeurs de cultures n’étaient que pour menacer les États
Trafiquants et les mettre aux pas des États Conquérants.
Ce contrôle biologique
des mauvaises herbes ou insectes dans le cadre d’une agriculture durable
n’était qu’une façade qui cachait l’intention militaire de tout
contrôler par la menace, l’intimidation, la peur, la destruction ou la maladie
(rendre les gens invalides physiquement et mentalement). Cet argument est
dénoncé par des scientifiques spécialisés dans le contrôle biologique qui
déclarent : “nous rejetons tout lien entre un contrôle biologique légitime et
l’utilisation d’agents biologiques dans l’élimination des parasites….
(d’humains jugés comme ‘’parasites’’).
Ainsi, le contrôle
biologique par des organismes mis en place militairement régule les populations
considérées comme ‘’parasites’’ et les éradique par leurs cultures cultivées
militairement comme le font les mais modifiés génétiquement pour rendre stérile
ou affaiblie sanitairement certaines populations cibles.
Le développement, la
production, le stockage, l’acquisition et la rétention d’armes biologiques ou
toxiques “quels que soient la méthode de production sont des menaces que le
Gouvernement Mondial (Couronne d’Angleterre + Pape + …) font aux populations de
la Terre.
Ces “armes, équipements
ou modes de dissémination destinés à l’utilisation d’armes biologiques ou
toxiques à des fins hostiles ou dans le cadre de conflits armés” et aussi dans
l’utilisation quotidienne de leurs milliers d’Agents Espions dans le Monde.
CONCLUSION
« Plus il y a de fous,
moins il y a de riz ».
Il est impossible
d'utiliser des armes biologiques si elles n'existent pas, et le meilleur moyen
d'empêcher leur emploi consiste donc à interdire leur mise au point, leur
fabrication, leur acquisition, leur stockage et leur conservation. À cet égard,
il importe de continuer à exercer des pressions en vue de renfocer la
Convention sur les armes biologiques et à toxines (CABT).
.... blog en
amélioration.... à suivre ....
par Viny Eden mon e-mail revenuedebasse@gmail.com
quelques uns de mes BLOGS…
dwanrg. blogspot.com
vinyeden.blogspot.com
connurrencepourdiviseretvolerlespays.
Blogspot.com
soleilpourtous.
blogspot.com
cielpourtous. blogspot.com
paradis1viny.
blogspot.com
p.
s.
LIBERTÉ d’EXPRESSION DE CHACUN
Déclaration Universelle
des Droits de l'Homme:
Article 19: "Tout
individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le
droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de
recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et
les idées par quelque moyen d'expression que ce soit."
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